Innovante mais également fragile, la métropole grenobloise est profondément marquée par un modèle de développement productif basé sur la valorisation marchande de la science.
S’il est naturellement doté d’une certaine capacité d’adaptation aux aléas de la conjoncture économique, il peine néanmoins à compenser certaines faiblesses de plus en plus structurelles du territoire.
Ce modèle cohabite avec un entrepreneuriat relevant du champ de l’économie sociale et solidaire pourtant vecteur de transformations du territoire.
La Métropole expérimentale peut-elle faire le pari du dialogue entre ces mondes économiques au service de la résilience du territoire ?